La cathédrale Saint-Michel célèbre son centenaire
Malgré l’orgue encore entreposé et l’absence de clocher, Mgr Paul LaRocque a célébré une première messe à la chapelle Pauline. C’était le 30 septembre 1917. Cent ans plus tard, la chapelle et la cathédrale se dressent fièrement au coeur de Sherbrooke et sont devenues un monument emblématique de la ville.
L’architecte Louis-Napoléon Audet et Mgr LaRocque ont uni leurs efforts au début du siècle dernier pour construire une chapelle qu’ils voulaient solide pour la communauté catholique locale.
« Lors de la construction, il s’agissait de la plus grande église avec voûte autoportante au Canada, explique Rémi Petit, architecte responsable de la restauration. C’était extraordinaire pour une petite ville comme l’était Sherbrooke à l’époque. M. Audet voulait construire quelque chose à l’épreuve du feu, il trouvait qu’on perdait trop d’églises à cause des feux. Ce qui est vraiment intéressant c’est que la cathédrale combine les techniques de construction du 19e siècle et des techniques plus modernes comme l’utilisation du béton et de l’acier. »
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