L’oeuvre en question est constituée d’une maisonnette à l’intérieur de laquelle on retrouve une quarantaine de maisons d’oiseaux. Sur certaines cabanes, on y trouve des copies du célèbre petit bonhomme de l’artiste qui se parlent entre eux. « En fait, l’idée, c’est de reproduire une ville dans une ville. On y voit des citoyens qui sont en interrelations. C’est un lien pour dire qu’on est dans le même espace, le même univers », explique l’artiste qui souhaite rester anonyme.
Il est aussi possible d’entendre un slam de Frank Poule lorsque l’on admire l’oeuvre.
[…]
Pour lire la suite de l’article paru sur le site web d’ICI Estrie, c’est par ici !
Photos : Mega Nan, Ville de Sherbrooke