Mérite estrien / L’art des affaires
Avant d’être restauratrice et femme d’affaires, Anik Beaudoin évoluait dans le milieu des arts.
À peine ses études secondaires terminées, l’ancienne élève curieuse et animée du Mont-Notre-Dame se dirige à Montréal pour poursuivre des études en violon à l’École de musique Vincent-D’Indy. Après ses études collégiales, elle enchaîne deux baccalauréats, le premier en musique et le second en théâtre.
« Mon expérience en théâtre me sert de différentes manières en affaires. Par exemple, c’est d’abord avec des troupes de théâtre que j’ai appris à faire des budgets. Aussi, le fait d’avoir travaillé avec des metteurs en scène a développé ma capacité d’écoute. En affaires, j’écoute ma clientèle. Aussi, je déteste la routine et je me sers de ma créativité au quotidien, que ce soit en m’impliquant dans la création d’événements ou simplement en créant de nouveaux cartons de Noël », explique la Sherbrookoise qui s’est exilée une vingtaine d’années dans la métropole avant de revenir ouvrir le restaurant Auguste, sur la rue Wellington Nord, en 2008 avec son conjoint de l’époque, Danny St Pierre.
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Photo : Restaurant Auguste